| Titre : |
Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi : roman |
| Type de document : |
Livre |
| Auteurs : |
Katherine PANCOL (1954-....), Auteur |
| Editeur : |
ALBIN MICHEL |
| Année de publication : |
2011 |
| Collection : |
Le livre de poche num. 32281 |
| Importance : |
944 p. |
| ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-253-16195-0 |
| Prix : |
9.20 EUR |
| Note générale : |
Bibliogr. p. 941-942 |
| Langues : |
Français (fre) |
| Mots-clés : |
Management
ROMAN ; FRANCE
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| Résumé : |
Souvent la vie s’amuse.Elle nous offre un diamant, caché sous un ticket de métro ou le tombé d’un rideau. Embusqué dans un mot, un regard, un sourire un peu nigaud.Il faut faire attention aux détails. Ils sèment notre vie de petits cailloux et nous guident. Les gens brutaux, les gens pressés, ceux qui portent des gants de boxe ou font gicler le gravier, ignorent les détails. Ils veulent du lourd, de l’imposant, du clinquant, ils ne veulent pas perdre une minute à se baisser pour un sou, une paille, la main d’un homme tremblant.Mais si on se penche, si on arrête le temps, on découvre des diamants dans une main tendue… Et la vie n’est plus jamais triste.
Ni le samedi, ni le dimanche, ni le lundi… |
| Permalink : |
https://cataloguelibrary.neoma-bs.fr/index.php?lvl=notice_display&id=155121 |
Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi : roman [Livre] / Katherine PANCOL (1954-....), Auteur . - ALBIN MICHEL, 2011 . - 944 p.. - ( Le livre de poche; 32281) . ISBN : 978-2-253-16195-0 : 9.20 EUR Bibliogr. p. 941-942 Langues : Français ( fre) | Mots-clés : |
Management
ROMAN ; FRANCE
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| Résumé : |
Souvent la vie s’amuse.Elle nous offre un diamant, caché sous un ticket de métro ou le tombé d’un rideau. Embusqué dans un mot, un regard, un sourire un peu nigaud.Il faut faire attention aux détails. Ils sèment notre vie de petits cailloux et nous guident. Les gens brutaux, les gens pressés, ceux qui portent des gants de boxe ou font gicler le gravier, ignorent les détails. Ils veulent du lourd, de l’imposant, du clinquant, ils ne veulent pas perdre une minute à se baisser pour un sou, une paille, la main d’un homme tremblant.Mais si on se penche, si on arrête le temps, on découvre des diamants dans une main tendue… Et la vie n’est plus jamais triste.
Ni le samedi, ni le dimanche, ni le lundi… |
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Les yeux jaunes des crocodiles / ALBIN MICHEL (2007)
