Titre : |
La persistance de l’inégalité des chances en Afrique du Sud plus de vingt ans après la chute de l’Apartheid et son impact sur les différents groupes socio-économiques. |
Type de document : |
Mémoire |
Auteurs : |
Niamh MULLEN, Auteur |
Année de publication : |
2018 |
Importance : |
70 p. |
Note générale : |
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Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Management AFRIQUE DU SUD ; INEGALITE SOCIALE ; CHOMAGE
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Résumé : |
La richesse mondiale et les revenus augmentent. Cependant, certains groupes de population gagnent aux dépens d’autres. Au niveau mondial, certains pays prospèrent tandis que d'autres sont caractérisés par des niveaux élevés de pauvreté et de sous-développement. En effet, même à l'intérieur d'un pays, certains groupes accumulent des richesses alors que d'autres subissent de mauvaises conditions de vie. Des facteurs personnels, notamment l’ethnicité et le lieu de résidence, influent sur ces conditions de vie. Cela est évident en Afrique du Sud.
Plus de vingt ans se sont écoulés depuis la chute de l'apartheid en Afrique du Sud et pourtant des inégalités subsistent entre différents groupes socio-économiques. Ce rapport examine la persistance des inégalités entre certains groupes raciaux et dans certaines provinces d'Afrique du Sud.
Je conclus que c'est la qualité médiocre de l'éducation de ces groupes qui entrave leurs résultats dans la vie. L'héritage de l'Apartheid crée toujours une fracture dans le pays, car ceux de la population blanche bénéficient en moyenne de meilleures conditions de vie par rapport à la population africaine noire. En outre, la ségrégation spatiale, qui a influencé le zonage résidentiel pendant l'Apartheid, est toujours évidente. Ceux qui vivent dans les régions d’ex-homeland sont soumis à des résultats inférieurs de leurs homologues dans d'autres régions. Il semble que la qualité de l'éducation reçue par la population africaine noire vivant dans les régions d'origine « Homeland » est inférieure à la moyenne nationale. En raison du faible niveau d'éducation, ces personnes ne peuvent pas accéder au marché du travail en raison de l'influence du changement technologique structurel qui exige une main-d'œuvre plus qualifiée.
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Note de contenu : |
Bibliogr. p.63-70 |
Programme : |
Cesem |
Permalink : |
https://cataloguelibrary.neoma-bs.fr/index.php?lvl=notice_display&id=423895 |
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