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Titre : Le nationalisme ou le recul de l'Histoire : Essai politique Type de document : e-book Auteurs : Mark EYSKENS Editeur : AVANT-PROPOS Année de publication : 2016 ISBN/ISSN/EAN : 9782511040348 Note générale : copyrighted Langues : Français (fre) Résumé : « Le confédéralisme, une dangereuse illusion » L’histoire démontre que, souvent, le nationalisme, destiné initialement à promouvoir les intérêts d’une communauté ethnique, dégénère facilement en un nationalisme inclusif, protectionniste, xénophobe et agressif à l’égard d’autres communautés, régions ou pays. Le confédéralisme qui prévoit la scission totale de la fiscalité et de la sécurité sociale n’est rien d’autre qu’un « séparatisme interne », incompatible avec le maintien d’un État belge cohérent. Les séparatistes sous-estiment bien entendu l’extraordinaire complexité d’une sécession unilatérale de la Flandre, qui en sortirait gravement mutilée, e.a. par la perte de son influence à Bruxelles, capitale de l’Europe. L’interdépendance et la complémentarité déterminent le fonctionnement d’un monde globalisé. La Belgique se trouve, comme les autres pays membres, soumise à une tutelle salutaire de la part des instances européennes sur les plans budgétaire, financier et économique. Un fédéralisme de coopération s’impose. Le réquisitoire anti-N-VA de Mark Eyskens EXTRAIT Il existe différents types de nationalismes si on les conçoit comme des structures de la vie collective en société et des genres de liens au sein de grands groupes de personnes. En particulier, la distinction entre le nationalisme ethnique et le nationalisme d’État est importante. Les politologues définissent généralement le nationalisme ethnique comme l’ambition politique de réaliser institutionnellement l’équation – la coïncidence – d’un peuple et d’un État, le peuple étant appelé à s’organiser en un État structuré. CE QU’EN PENSE LA CRITIQUE - « Mark Eyskens dit doctement tout le mal qu’il pense du nationalisme flamand. Il détaille les « coûts et bénéfices » de la « séparation de jumeaux, voire de triplés siamois ». Des coûts et bénéfices pour la Flandre s’entend. Il étaye sa thèse de manière méthodique, en analysant la « résurgence nationaliste » en Europe, puis en survolant la « question des nationalités en Belgique ». La démonstration est brillante… mais une campagne électorale est rarement rationnelle. » Philippe Leruth, L’Avenir - « Eyskens va droit au but : le nationalisme guette notre pays, singulièrement la Flandre. En passant, il distribue aussi des mauvais points du côté wallon ! Pour Eyskens, il y a également la globalisation où le peuple en tant que réalité sociologique fait place à une population multiculturelle. L’Etat national s’évapore de son côté, mais cette fois au bénéfice des structures décisionnelles européennes, voire planétaires. D’où un plaidoyer appuyé pour la poursuite de la construction européenne même si les temps sont durs. Un petit mais roboratif essai sur le nationalisme ! » Christian Laporte, La Libre Belgique A PROPOS DE L’AUTEUR Mark Eyskens, ministre d’État, professeur émérite à la KULeuven, étudia les sciences économiques, le droit et la philosophie en Belgique et aux États-Unis. Président du conseil d’administration de l’UCL-KUL (1972-76). Membre de treize gouvernements successifs comme e.a. ministre des Finances, des Affaires économiques, des Affaires étrangères et Premier ministre (1976-92). Membre de la Chambre des représentants, membre du Conseil de l’Europe (1994-2003). Président de l’Académie royale flamande de Belgique des sciences et des arts, président de la Fondation Francqui, du Festival de musique de Flandre, du Centre pour la culture européenne. Auteur de 52 livres et de très nombreux articles. Titulaire de la Chaire Benelux. Lauréat de plusieurs prix : Europe-Benelux, Scriptores Christiani, Médaille d’Or de l’Académie des Arts Sciences et Lettres de Paris. Mélomane et peintre le dimanche après-midi. Père de cinq enfants et grand-père de dix petits-enfants. Nombre d'accès : Illimité En ligne : https://neoma-bs.idm.oclc.org/login?url=https://www.scholarvox.com/book/88897323 Permalink : https://cataloguelibrary.neoma-bs.fr/index.php?lvl=notice_display&id=517086
Titre : La fin de la Flandre belge : Essai social Type de document : e-book Auteurs : Céline PRÉAUX Editeur : AVANT-PROPOS Année de publication : 2015 ISBN/ISSN/EAN : 9782511031407 Note générale : copyrighted Langues : Français (fre) Résumé : Nombreux sont aujourd’hui les Belges qui s’interrogent sur le futur de leur pays Alors que la Belgique est traversée par la plus longue crise de son histoire, d’aucuns se demandent s’il existe une porte de sortie à ce qui semble être un nœud gordien. Dans ce cadre, les experts se relaient pour tenter de remonter aux origines de la crise actuelle et d’éclairer le public sur les causes du malaise communautaire. Mais, si les relations entre Flamands et Wallons sont passées au crible de l’analyse, il est une partie de la population belge qui est entièrement laissée dans l’ombre : les francophones de Flandre. Or, selon nous, le problème des langues en Belgique n’oppose pas, comme on le dit souvent, la Flandre à la Wallonie. Il puise sa source dans les relations entre majorité et minorité en Flandre même. C’est aussi ce que nous démontrerons dans cette étude, première analyse d’envergure entièrement consacrée aux francophones de Flandre. Nous montrons en quoi la présence des francophones en Flandre explique l’orientation actuelle de l’identité flamande, une identité qui se veut aujourd’hui radicale, homogène, sûre d’elle et déterminée, mais qui est loin d’être gravée dans la roche. Céline Preaux nous offre ici un ouvrage richement documenté qui permettra aux lecteurs de comprendre les questions communautaires qui pèsent sur la Belgique A PROPOS DE L'AUTEUR Céline Préaux a effectué une licence en histoire contemporaine à l’Université Libre de Bruxelles. Elle a ensuite obtenu un diplôme d’Études Approfondies, pour lequel elle a réalisé un mémoire au sujet des francophones de Gand dans les années 1990. Passionnée par le sujet, elle a creusé la question dans une thèse de doctorat récemment défendue à l’ULB. Elle y met en relation le cas des francophones de Flandre et celui des anglophones du Québec. EXTRAIT L’implantation des élites francophones Les francophones de Flandre constituent ce que l’on pourrait appeler une « minorité majoritaire » ou une « majorité symbolique ». Comme l’avance Gary Caldwell, une majorité (et donc, logiquement, une minorité) ne se définit pas nécessairement en termes numériques. Bien plus important est le facteur de la « domination » ou de la « suprématie ». C’est aussi ce qu’affirme John Farley : « The sociological meaning of majority group […] is any group that is dominant in society.» Autrement dit, le critère principal de définition d’une minorité ou d’une majorité est celui de « discrimination », les discriminés étant, indépendamment de leur nombre, les minoritaires. Ceux-ci sont aussi définis par leur sentiment, par la conscience ou le complexe qu’ils ont de leur infériorité, qui leur confère un « statut minoritaire » (« minderheidsstatus »). Nombre d'accès : Illimité En ligne : https://neoma-bs.idm.oclc.org/login?url=https://www.scholarvox.com/book/88897329 Permalink : https://cataloguelibrary.neoma-bs.fr/index.php?lvl=notice_display&id=517074
Titre : La fin de la Flandre belge : Essai social Type de document : e-book Auteurs : Céline PRÉAUX Editeur : AVANT-PROPOS Année de publication : 2015 Note générale : copyrighted Langues : Français (fre) Résumé : Nombreux sont aujourd’hui les Belges qui s’interrogent sur le futur de leur pays Alors que la Belgique est traversée par la plus longue crise de son histoire, d’aucuns se demandent s’il existe une porte de sortie à ce qui semble être un nœud gordien. Dans ce cadre, les experts se relaient pour tenter de remonter aux origines de la crise actuelle et d’éclairer le public sur les causes du malaise communautaire. Mais, si les relations entre Flamands et Wallons sont passées au crible de l’analyse, il est une partie de la population belge qui est entièrement laissée dans l’ombre : les francophones de Flandre. Or, selon nous, le problème des langues en Belgique n’oppose pas, comme on le dit souvent, la Flandre à la Wallonie. Il puise sa source dans les relations entre majorité et minorité en Flandre même. C’est aussi ce que nous démontrerons dans cette étude, première analyse d’envergure entièrement consacrée aux francophones de Flandre. Nous montrons en quoi la présence des francophones en Flandre explique l’orientation actuelle de l’identité flamande, une identité qui se veut aujourd’hui radicale, homogène, sûre d’elle et déterminée, mais qui est loin d’être gravée dans la roche. Céline Preaux nous offre ici un ouvrage richement documenté qui permettra aux lecteurs de comprendre les questions communautaires qui pèsent sur la Belgique A PROPOS DE L'AUTEUR Céline Préaux a effectué une licence en histoire contemporaine à l’Université Libre de Bruxelles. Elle a ensuite obtenu un diplôme d’Études Approfondies, pour lequel elle a réalisé un mémoire au sujet des francophones de Gand dans les années 1990. Passionnée par le sujet, elle a creusé la question dans une thèse de doctorat récemment défendue à l’ULB. Elle y met en relation le cas des francophones de Flandre et celui des anglophones du Québec. EXTRAIT L’implantation des élites francophones Les francophones de Flandre constituent ce que l’on pourrait appeler une « minorité majoritaire » ou une « majorité symbolique ». Comme l’avance Gary Caldwell, une majorité (et donc, logiquement, une minorité) ne se définit pas nécessairement en termes numériques. Bien plus important est le facteur de la « domination » ou de la « suprématie ». C’est aussi ce qu’affirme John Farley : « The sociological meaning of majority group […] is any group that is dominant in society.» Autrement dit, le critère principal de définition d’une minorité ou d’une majorité est celui de « discrimination », les discriminés étant, indépendamment de leur nombre, les minoritaires. Ceux-ci sont aussi définis par leur sentiment, par la conscience ou le complexe qu’ils ont de leur infériorité, qui leur confère un « statut minoritaire » (« minderheidsstatus »). Nombre d'accès : Illimité En ligne : https://neoma-bs.idm.oclc.org/login?url=https://www.scholarvox.com/book/88897329 Permalink : https://cataloguelibrary.neoma-bs.fr/index.php?lvl=notice_display&id=540740 J'ai 45 ans. Quel pied, je viens de me faire virer ! : Un témoignage touchant sur le licenciement / Marc DRION / AVANT-PROPOS (2015)
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Titre : J'ai 45 ans. Quel pied, je viens de me faire virer ! : Un témoignage touchant sur le licenciement Type de document : e-book Auteurs : Marc DRION Editeur : AVANT-PROPOS Année de publication : 2015 ISBN/ISSN/EAN : 9782511031452 Note générale : copyrighted Langues : Français (fre) Résumé : C’est l’histoire, a priori banale, d’un homme qui se fait licencier en période de crise Le ton humoristique et sincère utilisé par l’auteur pour retracer, étape par étape, certainement un des passages les plus durs de sa vie, en font un livre drôle et touchant, plein de tendresse et d’amour. Il ne fait l’économie d’aucun acte, d’aucune pensée et livre sans ambages ses sentiments les plus profonds. Cette leçon de positivisme est une magnifique ode à la vie A PROPOS DE L'AUTEUR Marc Drion, ancien directeur général d’une société d’un grand groupe, nous livre son expérience suite à son propre licenciement. EXTRAIT Enfance Je garde de mon enfance des souvenirs lisses et doux. Cela malgré des tensions permanentes et des « je t’aime moi non plus » entre mes parents. Heureusement, ils ont fini par se séparer car ils auraient terminé comme Jean Gabin et Simone Signoret dans le film Le Chat. Je suis le petit dernier d’une famille nombreuse au sein d’une famille très nombreuse. En effet, mon arrière-grand-père du côté paternel a eu trois garçons qui ont eu chacun six enfants, qui eux-mêmes en ont eu quatre, et qui eux-mêmes ont continué à préparer nos pensions. Du côté maternel, même style de « configuration », ça fait du monde ! Cette grande famille m’a énormément apporté. J’ai eu l’habitude d’évoluer dans un esprit communautaire, d’observer et de comprendre les mécanismes de chacun, de mettre de côté les sentiments d’envie et de jalousie et de renforcer les valeurs d’ouverture et de tolérance. Nombre d'accès : Illimité En ligne : https://neoma-bs.idm.oclc.org/login?url=https://www.scholarvox.com/book/88897169 Permalink : https://cataloguelibrary.neoma-bs.fr/index.php?lvl=notice_display&id=517083 J'ai 45 ans. Quel pied, je viens de me faire virer ! : Un témoignage touchant sur le licenciement / Marc DRION / AVANT-PROPOS (2015)
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Titre : J'ai 45 ans. Quel pied, je viens de me faire virer ! : Un témoignage touchant sur le licenciement Type de document : e-book Auteurs : Marc DRION Editeur : AVANT-PROPOS Année de publication : 2015 Note générale : copyrighted Langues : Français (fre) Résumé : C’est l’histoire, a priori banale, d’un homme qui se fait licencier en période de crise Le ton humoristique et sincère utilisé par l’auteur pour retracer, étape par étape, certainement un des passages les plus durs de sa vie, en font un livre drôle et touchant, plein de tendresse et d’amour. Il ne fait l’économie d’aucun acte, d’aucune pensée et livre sans ambages ses sentiments les plus profonds. Cette leçon de positivisme est une magnifique ode à la vie A PROPOS DE L'AUTEUR Marc Drion, ancien directeur général d’une société d’un grand groupe, nous livre son expérience suite à son propre licenciement. EXTRAIT Enfance Je garde de mon enfance des souvenirs lisses et doux. Cela malgré des tensions permanentes et des « je t’aime moi non plus » entre mes parents. Heureusement, ils ont fini par se séparer car ils auraient terminé comme Jean Gabin et Simone Signoret dans le film Le Chat. Je suis le petit dernier d’une famille nombreuse au sein d’une famille très nombreuse. En effet, mon arrière-grand-père du côté paternel a eu trois garçons qui ont eu chacun six enfants, qui eux-mêmes en ont eu quatre, et qui eux-mêmes ont continué à préparer nos pensions. Du côté maternel, même style de « configuration », ça fait du monde ! Cette grande famille m’a énormément apporté. J’ai eu l’habitude d’évoluer dans un esprit communautaire, d’observer et de comprendre les mécanismes de chacun, de mettre de côté les sentiments d’envie et de jalousie et de renforcer les valeurs d’ouverture et de tolérance. Nombre d'accès : Illimité En ligne : https://neoma-bs.idm.oclc.org/login?url=https://www.scholarvox.com/book/88897169 Permalink : https://cataloguelibrary.neoma-bs.fr/index.php?lvl=notice_display&id=539620 PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalink
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