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La biodiversité en question : Enjeux philosophiques, éthiques et scientifiques / Elena CASETTA / Matériologiques (2018)
Titre : La biodiversité en question : Enjeux philosophiques, éthiques et scientifiques Type de document : e-book Auteurs : Elena CASETTA Editeur : Matériologiques Année de publication : 2018 ISBN/ISSN/EAN : 9782919694532 Note générale : copyrighted Langues : Français (fre) Résumé : Un regard critique sur la notion de biodiversité La diversité des êtres vivants est depuis fort longtemps un objet de réflexions scientifiques et philosophiques, mais le mot « biodiversité » est apparu seulement en 1986, rencontrant immédiatement un énorme succès. L’intérêt des biologistes, agronomes, écologues, etc., pour la conservation et la valorisation de la nature a été renouvelé et amplifié par l’adoption consensuelle de l’objet « biodiversité ». Il a également permis une mobilisation inédite des économistes, des gouvernements et des médias. Pourtant, ce terme s’avère fort ambigu et problématique, comme le présent ouvrage s’attache à le démontrer. Malgré toutes les études consacrées à ce sujet, la compréhension de ce qu’est la biodiversité, sa description, et l’établissement de politiques appropriées visant à sa conservation et à son amélioration, restent des tâches toujours en chantier. Cet état de fait n’est pas uniquement imputable à des inerties ou des obstacles politiques et étatiques? ; il est sans doute aussi redevable des insuffisances d’une notion versatile dont, toutefois, on ne saurait se passer, tant est entériné son usage, dans les discours des écologues, des ONG, des États. En plein dans ce que l’ONU déclare être la « décennie de la biodiversité » (2011-2020), ce livre vise à faire un bilan critique de l’état du discours sur la biodiversité, rassemblant les compétences de philosophes, de biologistes et d’écologues. Découvrez une étude approfondie de l’état du discours sur la biodiversité, qui rassemble les compétences de philosophes, de biologistes et d’écologues. EXTRAIT Il en résulte que les concepts de diversité et d’équitabilité ne contiennent pas d’information sur l’abondance absolue des espèces et sont moins liés qu’on ne le pense a priori avec une des raisons qui a promu l’émergence du terme biodiversité, à savoir la conservation des espèces : en effet, la viabilité d’une espèce – ou son contraire, sa probabilité d’extinction – est bien davantage liée à l’évolution de son abondance absolue qu’à celle de son abondance relative. Ce constat explique le paradoxe selon lequel les outils utilisés concrètement pour analyser les données de biodiversité n’utilisent pas directement les concepts de diversité et d’équitabilité tels que nous les avons introduits. À PROPOS DES AUTEURS Elena Casetta est chercheuse postdoctorale au Centre de philosophie des sciences de l’Université de Lisbonne et membre du Laboratoire d’ontologie de l’Université de Turin. Ses recherches portent sur la philosophie et les politiques de la biodiversité, la nature des espèces et les théories des genres naturels mais également sur le lien entre sexe et genre sexuel. Julien Delors est maître de conférence en histoire et philosophie des sciences à l’université de Bretagne occidentale, Brest. Sous leur direction, plusieurs auteurs ont contribué à la rédaction de La biodiversité en question : Anouk Barberousse, Patrick Blandin, Denis Couvet, Vincent Devictor, Jean Gayon, Frédéric Gosselin, Philippe Huneman, Christian Lévêque, Yves Meinard, Julien Mestrallet, Sarah Samadi et Jean-Christophe Vandevelde. Nombre d'accès : Illimité En ligne : https://neoma-bs.idm.oclc.org/login?url=https://www.scholarvox.com/book/88899569 Permalink : https://cataloguelibrary.neoma-bs.fr/index.php?lvl=notice_display&id=519496 Biologie, philosophie et marxisme : Textes choisis d’un biologiste atypique / J.B.S HALDANE / Matériologiques (2018)
Titre : Biologie, philosophie et marxisme : Textes choisis d’un biologiste atypique Type de document : e-book Auteurs : J.B.S HALDANE Editeur : Matériologiques Année de publication : 2018 Note générale : copyrighted Langues : Français (fre) Résumé : Les réflexions d'un philosophe marxiste des sciences Ce recueil vise à donner au lecteur francophone un accès à une partie de la réflexion du biologiste britannique John Burdon Sanderson Haldane (1892-1964) sur les sciences et leur rapport à la philosophie et à la politique. Haldane est surtout connu comme l’un des fondateurs (aux côtés de Ronald Fisher et Sewall Wright), au tournant des années 1930, de la théorie de la génétique des populations, un moment important de la synthèse néodarwinienne conciliant les résultats de la génétique de Mendel et le cadre de la théorie de l’évolution de Darwin. Mais il reste également comme un formidable vulgarisateur des sciences de son temps, un contributeur important à la réflexion philosophique sur les sciences, et un savant engagé politiquement. Adhérant philosophiquement au marxisme dans les années 1930, il est jusqu’en 1950 une figure du Parti communiste de Grande-Bretagne (PCGB). Les six textes regroupés ici, et traduits par Simon Gouz, concernent précisément la période de l’engagement marxiste de Haldane et permettent d’éclairer le sens et les conditions de cet engagement. Durant cette période, la plus grande partie des écrits populaires de Haldane est constituée d’articles courts publiés en tribune dans le Daily Worker (quotidien du PCGB). Ces articles sont pour la plupart centrés sur un aspect particulier des sciences, le plus souvent en biologie, et visent à la fois à fournir au lecteur une information sur l’état des sciences et à introduire une réflexion sur les conséquences sociales de leurs applications. Les textes traduits et reproduits dans le présent recueil sont plus longs et affirment une portée plus générale. Il s’agit des réflexions menées par Haldane directement du point de vue d’une philosophie marxiste des sciences. Chacun d’eux est précédé d’une introduction fournissant une présentation détaillée. Découvrez J.B.SS Haldane : un vulgarisateur de la pensée scientifique, un philosophe des sciences, et un homme politiquement engagé EXTRAIT Mais ces contradictions internes ne signifient pas que la nature est irrationnelle. Elles signifient qu’elle est instable. La nature est probablement infinie, certainement trop étendue pour que nous la saisissions entièrement. Donc notre explication de n’importe quel phénomène matériel est une simplification. Nous pensons naturellement aux choses comme étant nettement délimitées, et dès lors tendons à exagérer leur stabilité. Cependant, plus nous étudions la nature, plus nous voyons que ce qui est apparemment stable se révèle être le champ de bataille de tendances opposées. À PROPOS DE L'AUTEUR Simon Gouz est docteur en histoire et philosophie des sciences, et chercheur associé au laboratoire S2HEP de l’université Claude Bernard-Lyon 1. Nombre d'accès : Illimité En ligne : https://neoma-bs.idm.oclc.org/login?url=https://www.scholarvox.com/book/88899559 Permalink : https://cataloguelibrary.neoma-bs.fr/index.php?lvl=notice_display&id=540618 Critique de l’économie politique classique : Marx, Menger et l’Ecole historique allemande / Gilles CAMPAGNOLO / Matériologiques (2018)
Titre : Critique de l’économie politique classique : Marx, Menger et l’Ecole historique allemande Type de document : e-book Auteurs : Gilles CAMPAGNOLO Editeur : Matériologiques Année de publication : 2018 ISBN/ISSN/EAN : 9782919694679 Note générale : copyrighted Langues : Français (fre) Résumé : Un questionnement des critiques du libéralisme Dix ans et une crise économique majeure après sa première publication (aux PUF), le présent ouvrage revient, dans une version revue et augmentée, sur l’urgence d’interroger les sources des critiques du libéralisme afin d’évaluer la pertinence des attaques qui sont portées contre lui. L’appareil conceptuel des matrices des théories critiques est en effet ressaisi au seuil de l’ère industrielle naissante au XIXe ?siècle : en voyant les pensées marxiste, historiciste, utilitariste (marginaliste) de l’espace continental germanophone prendre l’économie politique classique britannique pour cible, on lit les premiers actes d’un procès dont les attendus n’ont pas encore été tous rendus à l’heure actuelle. Même si la discipline économique a depuis longtemps écarté la « valeur-travail » ou la « monnaie, voile?des échanges réels », il demeure en discussion des principes méthodologiques (atomisme, rôle de l’homo economicus) et des positions pratiques (qui étaient favorables au libre-échangisme, dans l’école de Manchester, ou à la puissance continentale, dans la Nationalökonomie). À l’origine de ces débats se tenaient Marx, Menger et les représentants de l’École historique allemande, opposés au dogme des héritiers de Smith, Ricardo, Say et Mill. « Juste salaire », « valeur-utilité subjective » et « économie du peuple » (Volkswirtschaftslehre) fondèrent les matrices alternatives au classicisme. Leurs échecs patents et leurs potentialités latentes marquèrent la marche de leur siècle, du suivant et orientent encore le nôtre. Si l’économie politique classique appartient sans doute à l’histoire de la pensée économique, si le philosophe a le goût du passé, c’est pour mieux comprendre le présent, et ces matrices critiques fournissent dès lors l’aune à laquelle juger des discours redevenus d’actualité. Un retour éclairé sur les théories de Marx, de Menger et des représentants de l’École historique allemande pour mieux comprendre le présent. EXTRAIT L’action de l’agent économique consiste à faire des choix. Dans la mesure où il est libre de ses mouvements et de ses choix, sans préjuger des raisons pour lesquels il se meut ou il agit (accessibles à lui seul introspectivement et seulement devinables extérieurement), son action est contrainte par des raisons d’ordre purement économiques (en premier lieu budgétaires). Même sous des contraintes d’ordres différents (légales, par exemple, policières dans un État autoritaire, ou contraignantes au nom de dogmes d’État dans un État totalitaire, etc.), ces premières restrictions à l’action continuent toujours de s’exercer : les formes supérieures de contrainte se surajoutent seulement. À PROPOS DE L'AUTEUR Ancien élève de l’ENS, agrégé et docteur en philosophie, ancien Fellow des universités de Harvard et de Tokyo, puis enseignant à l’université Paris I Panthéon-Sorbonne, Gilles Campagnolo est aujourd’hui directeur de recherche titulaire au CNRS et membre senior de Aix-Marseille School of Economics. Ses travaux en histoire et philosophie des sciences sociales, en épistémologie de l’économie et en herméneutique de la rationalité économique portent sur les fondements des théories continentales, les théories contemporaines en philosophie, épistémologie et méthodologie de l’économie, ainsi que sur la théorie de l’entrepreneur et de l’innovation. Nombre d'accès : Illimité En ligne : https://neoma-bs.idm.oclc.org/login?url=https://www.scholarvox.com/book/88899943 Permalink : https://cataloguelibrary.neoma-bs.fr/index.php?lvl=notice_display&id=518890 Critique de l’économie politique classique : Marx, Menger et l’Ecole historique allemande / Gilles CAMPAGNOLO / Matériologiques (2018)
Titre : Critique de l’économie politique classique : Marx, Menger et l’Ecole historique allemande Type de document : e-book Auteurs : Gilles CAMPAGNOLO Editeur : Matériologiques Année de publication : 2018 Note générale : copyrighted Langues : Français (fre) Résumé : Un questionnement des critiques du libéralisme Dix ans et une crise économique majeure après sa première publication (aux PUF), le présent ouvrage revient, dans une version revue et augmentée, sur l’urgence d’interroger les sources des critiques du libéralisme afin d’évaluer la pertinence des attaques qui sont portées contre lui. L’appareil conceptuel des matrices des théories critiques est en effet ressaisi au seuil de l’ère industrielle naissante au XIXe ?siècle : en voyant les pensées marxiste, historiciste, utilitariste (marginaliste) de l’espace continental germanophone prendre l’économie politique classique britannique pour cible, on lit les premiers actes d’un procès dont les attendus n’ont pas encore été tous rendus à l’heure actuelle. Même si la discipline économique a depuis longtemps écarté la « valeur-travail » ou la « monnaie, voile?des échanges réels », il demeure en discussion des principes méthodologiques (atomisme, rôle de l’homo economicus) et des positions pratiques (qui étaient favorables au libre-échangisme, dans l’école de Manchester, ou à la puissance continentale, dans la Nationalökonomie). À l’origine de ces débats se tenaient Marx, Menger et les représentants de l’École historique allemande, opposés au dogme des héritiers de Smith, Ricardo, Say et Mill. « Juste salaire », « valeur-utilité subjective » et « économie du peuple » (Volkswirtschaftslehre) fondèrent les matrices alternatives au classicisme. Leurs échecs patents et leurs potentialités latentes marquèrent la marche de leur siècle, du suivant et orientent encore le nôtre. Si l’économie politique classique appartient sans doute à l’histoire de la pensée économique, si le philosophe a le goût du passé, c’est pour mieux comprendre le présent, et ces matrices critiques fournissent dès lors l’aune à laquelle juger des discours redevenus d’actualité. Un retour éclairé sur les théories de Marx, de Menger et des représentants de l’École historique allemande pour mieux comprendre le présent. EXTRAIT L’action de l’agent économique consiste à faire des choix. Dans la mesure où il est libre de ses mouvements et de ses choix, sans préjuger des raisons pour lesquels il se meut ou il agit (accessibles à lui seul introspectivement et seulement devinables extérieurement), son action est contrainte par des raisons d’ordre purement économiques (en premier lieu budgétaires). Même sous des contraintes d’ordres différents (légales, par exemple, policières dans un État autoritaire, ou contraignantes au nom de dogmes d’État dans un État totalitaire, etc.), ces premières restrictions à l’action continuent toujours de s’exercer : les formes supérieures de contrainte se surajoutent seulement. À PROPOS DE L'AUTEUR Ancien élève de l’ENS, agrégé et docteur en philosophie, ancien Fellow des universités de Harvard et de Tokyo, puis enseignant à l’université Paris I Panthéon-Sorbonne, Gilles Campagnolo est aujourd’hui directeur de recherche titulaire au CNRS et membre senior de Aix-Marseille School of Economics. Ses travaux en histoire et philosophie des sciences sociales, en épistémologie de l’économie et en herméneutique de la rationalité économique portent sur les fondements des théories continentales, les théories contemporaines en philosophie, épistémologie et méthodologie de l’économie, ainsi que sur la théorie de l’entrepreneur et de l’innovation. Nombre d'accès : Illimité En ligne : https://neoma-bs.idm.oclc.org/login?url=https://www.scholarvox.com/book/88899943 Permalink : https://cataloguelibrary.neoma-bs.fr/index.php?lvl=notice_display&id=540787 De la démocratie dans les sciences : Epistémologie, éthique et pluralisme / Léo COUTELLEC / Matériologiques (2018)
Titre : De la démocratie dans les sciences : Epistémologie, éthique et pluralisme Type de document : e-book Auteurs : Léo COUTELLEC Editeur : Matériologiques Année de publication : 2018 ISBN/ISSN/EAN : 9782919694174 Note générale : copyrighted Langues : Français (fre) Résumé : Pour une renouvellement éspitémologique Sans répit, nous assistons aux collusions fatales entre certaines façons de faire de la science et les industries ou les États soumis aux règles d’airain du profit. Cette science dévoyée, abandonnant l’idée d’une exploration du monde pour l’honneur de la connaissance, tend à remplacer dans les têtes comme dans les instances de décision une science éthiquement responsable. Cette situation ne peut que s’aggraver, si l’on n’y prend pas garde et si l’on ne se munit pas d’outils idoines pour y faire face. Issues de la science fondamentale ou dûment inventées pour des buts précis, les techniques les plus bouleversantes, anthropologiquement parlant, sont déjà présentes ou susceptibles d’être mises au point dans quelques années. Ces techniques sont là tandis que les moyens d’en comprendre tous les tenants et aboutissements et de les circonscrire sont sous-développés. L’ouvrage de Léo Coutellec se veut une contribution pour repenser les rapports entre sciences et éthiques, et ainsi avancer vers ce qu’il appelle une « démocratie épistémique ». En démontrant l’insoutenabilité d’une science contre l’Homme, la visée est de réunir-sans-unifier ce qui, dans la science, est de l’ordre de l’épistémique, du technique et de l’éthique. Pour ce faire, l’auteur procède par étapes, travaillant préalablement et en profondeur sur deux espaces? : épistémologique et éthique. Il ne saurait être question de la fin de l’épistémologie mais de la nécessité de son renouvellement. Celui-ci passera, et il s’agit là de la thèse principale de cet ouvrage, par de nouveaux rapports avec l’éthique. L’auteur donne à cette thèse le nom d’« intégrité épistémique et éthique des sciences ». En épistémologie, il s’agit d’identifier et de reconnaître la matérialité plurielle constitutive des sciences. Avec l’hypothèse d’un « pluralisme épistémique ordonné et cohérent », Léo Coutellec démontre que la pensée épistémologique associée aux sciences et aux techniques contemporaines ne se résume pas à une opposition entre positivisme et relativisme. L’ouvrage de Léo Coutellec se veut une contribution pour repenser les rapports entre sciences et éthiques, et ainsi avancer vers ce qu’il appelle une « démocratie épistémique » EXTRAIT De façon générale, l’éthique évolutionniste cherche à introduire le point de vue de l’évolution dans les débats sur l’origine et la justification morale. Elle s’inspire de la biologie évolutive, de la théorie des jeux, de la neurobiologie et d’autres domaines scientifiques pour aborder des questions traitées en philosophie morale. Ainsi, selon les partisans de l’éthique évolutionniste, « les valeurs et normes morales peuvent trouver un ancrage dans les données factuelles ; elles dépendraient directement de la manière dont la nature nous a façonnés?». Nos jugements ou comportements moraux seraient donc le produit de la sélection naturelle, inscrits dans une « nature humaine », un ensemble de propriétés biologiques de l’être humain. La morale est alors considérée soit comme une propriété intrinsèque à la nature humaine, soit comme une fonction biologique, soit comme un paramètre adaptatif. À PROPOS DE L'AUTEUR Léo Coutellec est chercheur et enseignant en philosophie des sciences et des techniques à l’Insa (Institut national des sciences appliquées) de Lyon et à la faculté de philosophie de Lyon?3. Il travaille actuellement au renouvellement de la pensée épistémologique dans ses liens avec l’éthique. Ses recherches visent à définir les conditions d’une démocratie épistémique et s’articulent autour de la question suivante?: sous quelles conditions l’intégrité des sciences peut-elle être tout autant épistémique qu’éthique?? Nombre d'accès : Illimité En ligne : https://neoma-bs.idm.oclc.org/login?url=https://www.scholarvox.com/book/88899603 Permalink : https://cataloguelibrary.neoma-bs.fr/index.php?lvl=notice_display&id=518186 De la démocratie dans les sciences : Epistémologie, éthique et pluralisme / Léo COUTELLEC / Matériologiques (2018)PermalinkLe déterminisme entre sciences et philosophie : Revue Matière première / Pascal CHARBONNAT / Matériologiques (2018)PermalinkLe déterminisme entre sciences et philosophie : Revue Matière première / Pascal CHARBONNAT / Matériologiques (2018)PermalinkPermalinkL’évolution, de l’univers aux sociétés : Objets et concepts / Muriel GARGAUD / Matériologiques (2018)PermalinkMatériaux philosophiques et scientifiques pour un matérialisme contemporain : Volume 1 / Marc SILBERSTEIN / Matériologiques (2018)PermalinkMatériaux philosophiques et scientifiques pour un matérialisme contemporain : Volume 2 / Marc SILBERSTEIN / Matériologiques (2018)PermalinkMatériaux philosophiques et scientifiques pour un matérialisme contemporain : Volume 2 / Marc SILBERSTEIN / Matériologiques (2018)PermalinkLes modèles, possibilités et limites : Jusqu’où va le réel ? / Jean-Michel LEVY / Matériologiques (2018)PermalinkLes modèles, possibilités et limites : Jusqu’où va le réel ? / Jean-Michel LEVY / Matériologiques (2018)Permalink
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