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Titre : Banque et Droit 134 Novembre-Décembre 2010 Type de document : e-book Auteurs : REVUE BANQUE ÉDITION Editeur : RB EDITION Année de publication : 2010 Note générale : copyrighted Langues : Français (fre) Résumé : SommaireArticles- Démarchage bancaire et financier & conseillers en investissement financier* : Les aménagements contenus dans la loi de régulation bancaire et financière - Applications de la DSP : le compte de paiementChroniques- Gestion collective - Bancassurance - « Taxe bancaire : un outil de moralisation soulevant de nombreuses questions »- Vers un statut uniforme pour les intermédiaires financiers ? - Établissements de crédit – Crédit maritime mutuel – Organe central – Honorabilité – Exposition de l’établissement géré à un risque inconsidéré de crédit – Retrait d’agrément du dirigeant. - Droit financier et boursier - Droit des sûretés - Droit des sociétés Nombre d'accès : Illimité En ligne : http://library.ez.neoma-bs.fr/login?url=https://www.scholarvox.com/book/88803279 Permalink : https://cataloguelibrary.neoma-bs.fr/index.php?lvl=notice_display&id=580952
Titre : Banque Stratégie 287 Décembre 2010 Type de document : e-book Auteurs : REVUE BANQUE ÉDITION Editeur : RB EDITION Année de publication : 2010 Note générale : copyrighted Langues : Français (fre) Résumé : SommaireDossier : Bâle III : les nouvelles règles passées au cribleAdoubées par les chefs d'Etat du G20 à Séoul, les nouvelles exigences du Comités de Bâle durcissent significativement les contraintes en fonds propres des banques. Redéfinition du capital réglementaire, création des deux ratios de liquidité et d'un autre sur l'effet de levier, mise en place d'un ... Bâle III : une solvabilité renforcée des banques Liquidité : deux ratios techniques aux conséquences importantes pour l’économie Ratio de levier : un danger pour les banques européennes ? Procyclicité, « buffers » prudentiels et nouvelles règles de provisionnement Les « buffers » contracycliques : retour à l’encadrement du crédit ? La CRD 3 renforce le traitement prudentiel des activités de marché Traitement prudentiel des CVA : un débat à ouvrir aux non-spécialistes 2011 : une année charnière pour les établissements systémiques Bâle III, encore un effort ! Bâle III : réagir à la crise financièreVeille StratégiqueLes obligations légales de transparence des sociétés cotées en France sont-elles souhaitables ? Nombre d'accès : Illimité En ligne : http://library.ez.neoma-bs.fr/login?url=https://www.scholarvox.com/book/88803287 Permalink : https://cataloguelibrary.neoma-bs.fr/index.php?lvl=notice_display&id=580961
Titre : Revue Banque n° 724 Mai 2010 Type de document : e-book Auteurs : REVUE BANQUE ÉDITION Editeur : RB EDITION Année de publication : 2010 Note générale : copyrighted Langues : Français (fre) Résumé : Titriser plus pour financer plus, à quelles conditions ?EditoTitriser n’est pas jouerLa titrisation est au banc des principaux accusés de la crise. Le dernier acte en cours est l’investigation lancée par la SEC contre Goldman Sachs, qui lui reproche une utilisation dévoyée de la titrisation. Pour autant, si les pratiques sont montrées du doigt, la technique reste un indispensable instrument de financement de l’économie. Le consensus sur ce point est tout aussi large. Il s’agit donc de relancer la titrisation en lui rendant le processus vertueux qui était le sien lors de son apparition dans les années 1970 aux États-Unis.Cela passe par différentes mesures, notamment réglementaires : redéfinition des critères des actifs à titriser, taux de rétention sur les titres émis, labels de qualité, revue des méthodologies des agences de notation… Mais il faudra aussi modifier les comportements, ceux des banques et des émetteurs bien sûr, mais aussi des investisseurs qui ne doivent plus acheter des produits qu’ils ne comprennent pas.Le dossier (pp. 22 à 38) présente les points de vue de l’ensemble des acteurs de la chaîne de la titrisation : banquier, investisseur, agence de notation.En matière de titrisation, de dérivés et dans bien d’autres domaines financiers, il faut plus de transparence : c’est une des conclusions de la crise récente, pour mieux comprendre, mieux maîtriser… Pourtant Hervé Alexandre, Université Paris-Dauphine, s’interroge (p. 45) : Lehman Brothers, dans son rapport annuel 2007, allait déjà jusqu’à détailler les hypothèses sous-jacentes au modèle Black & Scholes employé pour évaluer ses options… Et l’universitaire de mettre en garde : « La transparence n’est définie que très partiellement au regard de la quantité d’information, mais plutôt par rapport à la qualité et la capacité des utilisateurs à s’approprier cette information ». Une conclusion que ne démentiront pas Aymen Ajina et Danielle Sougne (HEC Business School Université de Liège) dont les travaux montrent que la qualité de l’information financière sur un titre détermine la transparence de son marché et partant, influe sur sa liquidité (p. 2). Nombre d'accès : Illimité En ligne : http://library.ez.neoma-bs.fr/login?url=https://www.scholarvox.com/book/88803294 Permalink : https://cataloguelibrary.neoma-bs.fr/index.php?lvl=notice_display&id=580963
Titre : Revue Banque n° 726 Juillet-Août 2010 Type de document : e-book Auteurs : REVUE BANQUE ÉDITION Editeur : RB EDITION Année de publication : 2010 Note générale : copyrighted Langues : Français (fre) Résumé : Crédit à la consommation. La réforme Lagarde : un millefeuille à la française ?EditoLe crédit conso sous contrôleLa loi Lagarde est votée, baptisée du nom de la ministre qui, de son propre aveu, s’est particulièrement investie dans cette réforme du crédit à la consommation. La loi entend finaliser un cadre à ce type de crédit en France tout en transposant la directive européenne sur le crédit à la consommation d’avril 2008. Quelle est la portée de ce texte ? Pour les uns, il était nécessaire pour harmoniser la réglementation éparse, accumulée au fil des ans, et intégrer la dimension européenne, sur une activité appelée à se développer en France. Selon le panorama du crédit à la consommation de Sofinco (Groupe Crédit Agricole), l’encours par habitant en France à fin 2009 est de 2 263 euros, plus faible qu’en Allemagne (2 768) et surtout en Grande Bretagne (4 133). Pour les autres, il s’agit d’un millefeuille dans lequel se superposent les couches réglementaires européenne et française : ils estiment en effet que les nombreux rajouts du législateur français dénaturent le sens d’une directive d’harmonisation ciblée mais maximum, censée être transposée en l’état dans les droits nationaux.Le dossier de Revue Banque (sommaire p. 23) présente le texte de loi, à la fois dans ses aspects opérationnels et juridiques, en éclaire les points les plus discutés comme l’instauration d’un fichier positif et organise la confrontation des points de vue des parties prenantes. Nombre d'accès : Illimité En ligne : http://library.ez.neoma-bs.fr/login?url=https://www.scholarvox.com/book/88803295 Permalink : https://cataloguelibrary.neoma-bs.fr/index.php?lvl=notice_display&id=580971
Titre : Revue Banque n° 727 Septembre 2010 Type de document : e-book Auteurs : REVUE BANQUE ÉDITION Editeur : RB EDITION Année de publication : 2010 Note générale : copyrighted Langues : Français (fre) Résumé : Finance Carbone : 2012 et après ?EditoFinance carbone, la naissance d’un marchéLa première finalité de la finance carbone est la sauvegarde de la planète. Mais c’est aussi un événement assez extraordinaire : la création d’un nouveau marché de taille internationale, celui des quotas d’émission de CO2. Sa première phase entre 2005 et 2007 a été la mise en place du système d’échange des quotas ; la seconde, de 2008 à 2012, est sa période initiale de fonctionnement fondée sur une allocation gratuite des quotas ; enfin le marché devrait véritablement prendre son autonomie à compter de 2013, grâce à la mise aux enchères des quotas et l’élargissement du marché à des secteurs économiques comme la chimie ou les aluminiers. Certes, ce marché encore tout neuf souffre d’erreurs de jeunesse : la fraude récente à la TVA en est une, et de taille, qu’il faudra éradiquer pour que son développement soit assuré. De plus, comme le souligne Annick Masounave dans son dossier (sommaire p. 25), « l’incapacité des États à s’accorder sur les suites à donner au protocole de Kyoto, qui prend fin en 2012 » laisse planer des incertitudes. Mais si une volonté politique générale ne se fait pas jour, d’autres leviers peuvent prendre le relais pour assurer la pérennité de la finance carbone : l’Union européenne notamment ne semble pas prête à abandonner la partie… Nombre d'accès : Illimité En ligne : http://library.ez.neoma-bs.fr/login?url=https://www.scholarvox.com/book/88803296 Permalink : https://cataloguelibrary.neoma-bs.fr/index.php?lvl=notice_display&id=580953 PermalinkPermalink
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