Détail de l'éditeur
Utopia |
Documents disponibles chez cet éditeur (33)
Ajouter le résultat dans votre panier Faire une suggestion Affiner la recherche
La démondialisation ou le chaos : Démondialiser, décroître et coopérer / Aurélien BERNIER / Utopia (2018)
Titre : La démondialisation ou le chaos : Démondialiser, décroître et coopérer Type de document : e-book Auteurs : Aurélien BERNIER Editeur : Utopia Année de publication : 2018 ISBN/ISSN/EAN : 9782919160792 Note générale : copyrighted Langues : Français (fre) Résumé : De quoi la mondialisation est-elle le nom ? Comment ne pas voir que toutes les « crises » économiques, environnementales et démocratiques, ainsi que les dérives identitaires – du terrorisme à l’extrême droite –, ne sont que le résultat d’un seul et même processus : celui de la mondialisation et de la financiarisation de l’économie, provoquant un désastre économique, social, culturel et verrouillant l’ordre international ? Partout dans le monde, les luttes sociales se heurtent au libre échange, au chantage à la délocalisation et à la fuite des capitaux. En l’absence de perspective de sortie « par la gauche » de cet engrenage, les nombreuses victimes de cette mondialisation se résignent ou choisissent la stratégie du pire. Pour ne pas sombrer petit à petit dans le chaos et redonner de l’espoir, sans pour autant défendre un capitalisme national, il faut mettre en œuvre un projet de rupture qui repose sur trois piliers : la démondialisation pour rompre avec le capitalisme, la décroissance pour répondre aux crises environnementales et la coopération internationale pour renouer avec l’idée de justice sociale au sens le plus global. Ce livre contribue à engager une nouvelle bataille des idées pour lutter contre l’extrême droite et le terrorisme, mais aussi pour combattre le fatalisme qui conduit à la soumission, à l’abstention et au désengagement. Il vise également à dépasser le débat opposant à gauche nation et internationalisme. Un livre fort qui ouvre la voie d'une alternative progressiste face au piège de la mondialisation néolibérale. EXTRAIT On entend souvent dire que la chute du mur de Berlin, le 16 novembre 1989, a sonné la victoire totale du libéralisme. Avec du recul, on peut penser que ce n’est pas le cas. S’il fallait célébrer le véritable triomphe du capitalisme néolibéral, la date à retenir serait le 13 juillet 2015. Ce jour-là, le gouvernement grec de gauche radicale, démocratiquement élu, renonçait à mettre en œuvre son programme et se pliait aux injonctions de l’Union européenne et des marchés financiers. Alors que la coalition Syriza avait remporté, en janvier 2015, les élections législatives en promettant de combattre et de vaincre l’austérité, l’ordre néolibéral faisait plier la Grèce et rayait d’un trait de plume le résultat des urnes, semblant donner raison à titre posthume à l’ancienne Premier ministre britannique, Margaret Thatcher : il n’y aurait plus d’alternative au règne du marché. À PROPOS DE L'AUTEUR Aurélien Bernier est essayiste et conférencier. Il collabore régulièrement au Monde Diplomatique. Ses dernières publications : Désobéissons à l’Union européenne (Mille et une nuits, 2011), Comment la mondialisation a tué l’écologie (Mille et une nuits, 2012), La gauche radicale et ses tabous (Seuil, 2014). Nombre d'accès : Illimité En ligne : https://neoma-bs.idm.oclc.org/login?url=https://www.scholarvox.com/book/88888761 Permalink : https://cataloguelibrary.neoma-bs.fr/index.php?lvl=notice_display&id=511816 Dette et extractivisme : La résistible ascension d'un duo destructeur / Nicolas SERSIRON / Utopia (2018)
Titre : Dette et extractivisme : La résistible ascension d'un duo destructeur Type de document : e-book Auteurs : Nicolas SERSIRON Editeur : Utopia Année de publication : 2018 ISBN/ISSN/EAN : 9782919160822 Note générale : copyrighted Langues : Français (fre) Résumé : L'auteur démontre la continuité d'un système d'asservissement injuste et propose des pistes pour le dépasser. L’extractivisme, ce pillage des ressources naturelles de la planète par la force, a donné à l’Europe puis aux USA les moyens de dominer le monde. Depuis la disparition des colonies, la dette illégitime, nouvelle violence imposée aux pays dits «en développement», a permis d’assurer la continuité du pillage. Cette dette a amplifié le système extractiviste, initialement appliqué aux produits fossiles et agricoles, en l’étendant aux ressources financières du Sud puis aujourd’hui du Nord. Elle impose le remboursement par les populations de dettes dont elles ne sont pas responsables mais victimes. Dette et extractivisme, intimement liés, sont facteurs d’injustice, de corruption, et de violences sociales et environnementales. Ce «duo destructeur» est aussi à l’origine du dérèglement climatique. Des alternatives pour créer une société post-extractiviste soucieuse des peuples et du climat existent. L’audit et l’annulation des dettes illégitimes, la réduction des inégalités, la fin du pillage extractiviste sont quelques-uns des combats citoyens essentiels proposés dans ce livre. Un livre fort pour dénoncer le pillage des pays du Sud par les pays du Nord à travers le remboursement imposé de dettes illégitimes. EXTRAIT L’analyse du système-dette, de l’extractivisme et de leur interdépendance nous semble essentielle pour comprendre le fonctionnement de la « Mégamachine2 ». L’extractivisme est une course au trésor dans laquelle les plus forts ne reculent devant aucune violence pour s’accaparer les communs que sont les ressources naturelles de la planète. Il y a quelques siècles, quand il n’y avait que la force humaine pour creuser des puits de mines, se saisir de l’or ou faire pousser le coton, la canne à sucre ou le tabac, les armateurs et les colons utilisaient des esclaves soumis par le fouet et les armes à feu. En 2013, ce sont des « esclaves énergétiques » pétrolivores qui sont utilisés pour extraire des métaux, du pétrole ou du charbon, tandis que d’autres transforment les forêts en déserts verts de soja ou de palmiers à huile. À PROPOS DE L'AUTEUR Nicolas Sersiron, est président du CADTM France, Comité pour l’Annulation de la Dette du Tiers Monde. Fondé en 1990, le CADTM est un réseau international présent en Europe, en Afrique, en Amérique latine et en Asie. Son travail principal est l’élaboration d’alternatives radicales visant la satisfaction universelle des besoins, des libertés et des droits humains fondamentaux. Nombre d'accès : Illimité En ligne : https://neoma-bs.idm.oclc.org/login?url=https://www.scholarvox.com/book/88890494 Permalink : https://cataloguelibrary.neoma-bs.fr/index.php?lvl=notice_display&id=510886
Titre : Des droits pour la nature : Faire du vivant un sujet de droit Type de document : e-book Auteurs : Collectif ONG Editeur : Utopia Année de publication : 2018 ISBN/ISSN/EAN : 9782919160839 Note générale : copyrighted Langues : Français (fre) Résumé : C’est une lacune du droit international : rien aujourd'hui ne permet aux victimes d’injustices environnementales de réclamer l’application de leurs droits.Aucune sanction n’est prévue pour ceux qui menacent les Droits de la nature alors qu’il en va de la pérennité des conditions de la vie sur terre.Les Droits de la nature doivent accorder aux écosystèmes des droits à l’existence qui peuvent être revendiqués en justice. Ils proposent la reconnaissance du crime « d’écocide » pour les atteintes les plus graves contre l’environnement que les États et les entreprises non seulement permettent, mais parfois encouragent.Ces principes permettent de considérer la nature comme un sujet de droits plutôt que comme un objet. Cela remet en cause notre conception de la place de la nature par rapport à l’humanité. Car il ne saurait y avoir de Droits Humains et de droit des générations actuelles et futures à bénéficier d’un environnement sain et viable sans la reconnaissance des Droits de la nature et qu’émergent des nouveaux modèles de gouvernance mondiaux.Ce livre propose des évolutions du droit international pour que soit pris en compte la réalité des excès de notre monde industrialisé. Cela implique de faire du vivant un sujet de droit. C’est donc aussi une révolution philosophique du droit qui est proposée dans ce livre.Après la conquête des droits individuels, politiques et sociaux, à l’heure où de graves menaces pèsent sur la nature et l’humanité, il convient de concevoir et d’acquérir de nouveaux droits sécurisant la Terre et ses habitants.Ce livre a été écrit dans le cadre du troisième Tribunal international des droits de la Nature qui s’est tenu à Paris en décembre 2015, parallèlement à la COP21.Un livre nécessaire pour faire de la nature un sujet de droit à part entière.EXTRAITPlus question de penser la liberté, la démocratie et le devenir des sociétés sans les flux de matière et d’énergie qui les trament et les relient à la vie de la Terre. Chaque projet de société suppose et génère son écologie, chaque économie-monde implique une écologie-monde, plus ou moins soutenable. Après avoir d’abord espéré une irénique réconciliation entre humains et non-humains, des penseurs comme Bruno Latour pensent la situation actuelle comme une véritable guerre des mondes. D’un côté les modernisateurs (humains, mais aussi machines et êtres vivants façonnés par le projet de domination de la nature) qui creusent toujours plus violemment la Terre et menacent de la consumer ; de l’autre les « terriens » (êtres non-humains et forces chtoniennes d’une irascible Gaïa, mais aussi d’innombrables collectifs humains en transition de l’arrachement vers la relation) acculés à la légitime défense contre les modernisateurs, à lutter pour que la majorité des ressources fossiles soit laissée sous le sol et travaillant à préserver et nourrir les vitalités régénératrices.À PROPOS DES AUTEURSCet ouvrage collectif a été rédigé par des spécialistes et des théoriciens français et étrangers des droits de la nature et du droit, sous l’égide des ONG Global Alliance for the Rights of Nature, End Ecocide on Earth et NatureRights. Ces associations internationales luttent pour la reconnaissance du crime d’écocide par le droit international et organisent depuis 2014 les Tribunaux internationaux des Droits de la Nature. Nombre d'accès : Illimité En ligne : https://neoma-bs.idm.oclc.org/login?url=https://www.scholarvox.com/book/88889781 Permalink : https://cataloguelibrary.neoma-bs.fr/index.php?lvl=notice_display&id=512675 Écologie et cultures populaires : Les modes de vie populaires au secours de la planète / Paul ARIES / Utopia (2018)
Titre : Écologie et cultures populaires : Les modes de vie populaires au secours de la planète Type de document : e-book Auteurs : Paul ARIES Editeur : Utopia Année de publication : 2018 ISBN/ISSN/EAN : 9782919160877 Note générale : copyrighted Langues : Français (fre) Résumé : Paul Ariès livre une théorie à contre-courant et pourtant réaliste : les plus écolos ne sont pas ceux que l'on croit ! Ce livre est d’abord un coup de gueule contre l’idée selon laquelle il n’y aurait rien de bon à attendre des milieux populaires au regard de la situation écologique. Les élites auraient donc raison : « Salauds de pauvres qui consommez si mal ! ». Ce discours discriminant est susceptible de contaminer ceux qui à gauche se disent les plus conscients des enjeux planétaires et sociaux. Pourtant tous les indicateurs prouvent que les milieux populaires ont un meilleur bilan carbone, une meilleure empreinte écologique que les milieux aisés, y compris quand ces derniers ont des pratiques « écolos ». Iconoclaste, Paul Ariès invite à relativiser les thèses de Veblen et de Bourdieu sur l’imitation par les milieux populaires des modes de vie des riches. Certes, « les riches détruisent la planète », mais l’auteur démontre que les gens ordinaires, les « gens du commun », ne sont pas des riches auxquels il ne manquerait que du capital économique, social, culturel et symbolique. Sans succomber à un nouvel angélisme au regard des consommateurs populaires, car il reste encore beaucoup à faire, l’auteur invite à renouer avec toute une tradition historiographique, littéraire, cinématographique qui autrefois valorisait bien davantage le peuple. Ce livre est également un cri d’espoir, car en entretenant d’autres rapports à la vie, au travail, à la consommation, à la propriété lucrative, au temps... Les gens du commun, non pas ceux d’ailleurs ou d’autrefois, ne pourraient-ils pas être les principaux acteurs de la transition écologique, et par là même contribuer à « sauver la planète » ? Avec cet ouvrage richement documenté, l'auteur démontre que la préservation de la planète ne dépend pas seulement d'un changement venu d'en haut. EXTRAIT Tous les indicateurs prouvent que les milieux populaires ont un bien meilleur « budget carbone », une bien meilleure « empreinte écologique », un bien plus faible écart par rapport à la « bio-capacité disponible », un bien meilleur indice « planète vivante » (concernant l’impact des activités sur la biodiversité), un « jour de dépassement de la capacité régénératrice de la planète » plus tardif, une moindre emprise sur la « déplétion » des stocks non renouvelables en raison d’une moindre utilisation de la voiture et de l’avion mais aussi parce qu’ils font durer plus longtemps leurs biens d’équipements. Bref, par rapport à l’objectif d’émettre quatre fois moins de GES (Gaz à effet de serre) par rapport à 1990, si les riches ont « tout faux », les milieux populaires font déjà bien mieux. À PROPOS DE L'AUTEUR Paul Ariès, politologue, rédacteur en chef du mensuel les Zindigné(e)s (ex-le Sarkophage), est aussi délégué général de l’Observatoire international de la gratuité et co-organisateur de nombreux forums nationaux ou internationaux avec des villes ou des associations comme Emmaüs, ATTAC, CADTM, etc. Il est l’auteur d’une quarantaine d’ouvrages. Nombre d'accès : Illimité En ligne : https://neoma-bs.idm.oclc.org/login?url=https://www.scholarvox.com/book/88893920 Permalink : https://cataloguelibrary.neoma-bs.fr/index.php?lvl=notice_display&id=509611
Titre : Équateur : De la République bananière à la Non-République Type de document : e-book Auteurs : Rafael CORREA Editeur : Utopia Année de publication : 2018 ISBN/ISSN/EAN : 9782919160952 Note générale : copyrighted Langues : Français (fre) Résumé : L'ancien président de la république équatorienne revient sur l'histoire de son pays depuis la colonisation. Rafael Correa, président de la République de l'Équateur, a d’abord été un économiste engagé qui a pu constater sur le terrain les effets de l’idéologie néolibérale. Pour l’auteur, l’Équateur de ces dernières décennies ne mérite pas le nom de République : il n’a fait que passer du statut de République Bananière à celui de Non-République. Dans ce livre, le leader de la Révolution Citoyenne décrit l’histoire économique de son pays et de « son continent » depuis la colonisation physique jusqu’à la colonisation mentale et économique des trente dernières années. Préfacé par Edgar Morin, cet essai édifiant décrypte de l'intérieur les tourments traversés par l'Équateur à travers les deux derniers siècles. EXTRAIT J’estime que le principal défi de l’humanité à l’aube du XXIe siècle est de s’affranchir du joug du capital et de son extension la plus importante : la chimère du « marché ». En d’autres termes, il s’agit d’arriver à placer les êtres humains au-dessus du capital, les sociétés au-dessus des marchés, et enfin de donner au marché un statut de serf et non plus de maître. Si ce livre contribue à cela, il aura atteint son objectif. À PROPOS DE L'AUTEUR Rafael Correa, né à Guayaquil (Équateur) en 1963, est économiste et homme politique équatorien. Élu président de la République équatorienne en novembre 2006, il a été réélu dès le premier tour en 2009 ainsi qu’en février 2013. Nombre d'accès : Illimité En ligne : https://neoma-bs.idm.oclc.org/login?url=https://www.scholarvox.com/book/88888652 Permalink : https://cataloguelibrary.neoma-bs.fr/index.php?lvl=notice_display&id=511810 PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkNucléaire : Pour lutter contre les idées reçues - Les scénarios de sortie / Mouvement UTOPIA / Utopia (2018)PermalinkPolitique(s) de la décroissance : Propositions pour penser et faire la transition / Michel LEPESANT / Utopia (2018)PermalinkPermalinkPour un revenu sans condition : Garantir l'accès aux biens et services essentiels / Baptiste MYLONDO / Utopia (2018)PermalinkUn projet de décroissance : Manifestation pour une Dotation Inconditionnelle d'Autonomie / COLLECTIF / Utopia (2018)Permalink
LIBRARY - Campus Rouen
NEOMA Business School
pmb
-
59 Rue Taittinger, 51100 Reims
-
00 33 (0)3 26 77 46 15
Library Campus Reims
-
1 Rue du Maréchal Juin, BP 215
76825 Mont Saint Aignan cedex -
00 33 (0)2 32 82 58 26